Les symbole sont forts : Marianne ligotée et baillonnée, des pancartes "Touche pas à ma Place Nap" et un mégaphone pour faire entendre la voix des Yonnais sous les fenêtres du Conseil Municipal. Sous le chaud soleil d'avril, toutes les générations sont représentées pour faire entendre leur voix et celle des habitants qui dénoncent "la surdité du maire".
Organisateurs de ce "happening", les Relais de Quartiers pointent du doigt "l'entêtement dans un projet pharaonique, inadapté aux besoins du centre-ville de La Roche-sur-Yon" indique Gonzague de Chantérac, animateur de l'association. Et d'ajouter un brin ironique, que "même l'Empereur en est vert de peur", en référence aux nouvelles affiches de la ville.
L'association citoyenne s'est créée il y a quatre mois, quand ses animateurs ont eu le sentiment que la concertation se faisait sans les habitants. Alors ils se sont réunis, pour faire entendre la voix des Yonnaises et des Yonnais sur le projet de la Place Napoléon et les grands projets de la ville en général.
"Le maire ne veut pas entendre les yonnais sur le fond des choses. C'est pour cela que son équipe municipale se fissure" constate Gonzague de Chantérac.
"Nous avons silloné la ville pendant plusieurs semaines avec un questionnaire à la rencontres des habitants dans les quartiers et sur les marchés. La mobilisation est forte et les yonnais ont déjà obtenus le maintien du kiosque et la création d'un parking dans le Pentagone. Mais le maire continue d'éviter de répondre au coeur du sujet, la place en elle-même. L'essentiel n'est pas abordé : quelle est la vocation de la Place Napoléon, son rôle pour la ville ?" ajoute-t-il.
Pour eux, la future Place Napoléon doit être le carrefour de la vie sociale et culturelle. Un prolongement entre les différents pôles économiques du centre-ville pour permettre aux Halles de survivre. Et les idées foisonnent.
"Il serait extrêmement dommage de rater cette occasion historique parce que le maire Pierre Regnault a peur d'écouter les yonnais. Il faut prendre le temps du dialogue. La Place Napoléon ne peut pas être sacrifiée pour des intérêts électoralistes" concluent ensemble les yonnais présents qui citent Sénèque : «Celui qui n'empêche pas un crime alors qu'il le pourrait, s'en rend complice ».
Organisateurs de ce "happening", les Relais de Quartiers pointent du doigt "l'entêtement dans un projet pharaonique, inadapté aux besoins du centre-ville de La Roche-sur-Yon" indique Gonzague de Chantérac, animateur de l'association. Et d'ajouter un brin ironique, que "même l'Empereur en est vert de peur", en référence aux nouvelles affiches de la ville.
L'association citoyenne s'est créée il y a quatre mois, quand ses animateurs ont eu le sentiment que la concertation se faisait sans les habitants. Alors ils se sont réunis, pour faire entendre la voix des Yonnaises et des Yonnais sur le projet de la Place Napoléon et les grands projets de la ville en général.
"Le maire ne veut pas entendre les yonnais sur le fond des choses. C'est pour cela que son équipe municipale se fissure" constate Gonzague de Chantérac.
"Nous avons silloné la ville pendant plusieurs semaines avec un questionnaire à la rencontres des habitants dans les quartiers et sur les marchés. La mobilisation est forte et les yonnais ont déjà obtenus le maintien du kiosque et la création d'un parking dans le Pentagone. Mais le maire continue d'éviter de répondre au coeur du sujet, la place en elle-même. L'essentiel n'est pas abordé : quelle est la vocation de la Place Napoléon, son rôle pour la ville ?" ajoute-t-il.
Pour eux, la future Place Napoléon doit être le carrefour de la vie sociale et culturelle. Un prolongement entre les différents pôles économiques du centre-ville pour permettre aux Halles de survivre. Et les idées foisonnent.
"Il serait extrêmement dommage de rater cette occasion historique parce que le maire Pierre Regnault a peur d'écouter les yonnais. Il faut prendre le temps du dialogue. La Place Napoléon ne peut pas être sacrifiée pour des intérêts électoralistes" concluent ensemble les yonnais présents qui citent Sénèque : «Celui qui n'empêche pas un crime alors qu'il le pourrait, s'en rend complice ».
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